Libertà per ISMA e MIGUEL
COMMUNIQUÉ DES PLATEFORMES POUR LA LIBERTÉ D’ISMA ET MIGUEL
Le 22 mars dernier les différentes colonnes des Marches de la Dignité par confluer sur Madrid pour aboutir en une immense journée de mobilisation qui à emplis les rues de Madrid. Peu avant la fin de la journée, un groupe de UIP (police anti-émeute) a chargé contre le gros des manifestants vers 20 :40 sur une place de Colón bondé de gents qui attendaient encore la finalisation des activités.
Nous considérons cette conduite disproportionnée, puisqu’ils ont chargé contre tous ceux qui étaient présent, avec gaz lacrymogènes et tir de flash-ball sans distinction. Conduite, de la quelle nous considérons directement responsable la Délégation du Gouvernement et les responsables policiers. Il a été prouvé que toutes les personnes qui ont été arrêtées on souffert de mauvais-traitements. Parmi celles-ci seul Miguel, 21 ans, à été incarcéré en prison provisoire, malgré sont enracinement familial et social et n’avoir aucun antécédent.
Motifs normalement suffisants pour éviter une mesure aussi excessive pour garantir qu’il assiste à son procès. L’argument de « l’alarme social » générée par ce cas, alimentée artificiellement, semble être le seul prétexte qui le maintien prison, bien qu’il n’y ai aucune différence objective entre les délits qui lui sont attribués e ceux dont sont inculpés le reste des accusés du même procès.
L’histoire se reproduit avec une seconde volée de détentions dans le cadre de l’opération Puma-70 où plus de dix personnes sont arrêtées et seulement une est incarcérée en prison provisoire: Isma, 18 ans, du sud de Madrid. Lui aussi n’a pas d’antécédents, il est maintenu en prisons en absence des éléments nécessaires pour justifier une mesure de cette ordre.
En premier lieu nous exigeons la liberté d’Isma et Miguel, ainsi que l’absolution de tous ceux qui ont été arrêtés le 22 de mars. Nous considérons qu’Isma et Miguel sont des têtes turques pour contré la portée médiatique qu’ont eu les Marches de la Dignité. Nous croyions que cette situation choque avec les agressions policières, pour les quelles aucun policier n’a été inculpé et au cours des quelles un manifestant a perdu un testicule et un autre à perdu un œil à cause de tirs de flash-ball effectués de manière inadéquate. Il faut ajouter à ceci la campagne de criminalisation que nous avons soufferte, avec la création de nombreuses fausses preuves, dont la déjà célèbre béquille épée.
Nous exigeons la liberté d’Isma et Miguel et l’absolution de toutes les personnes qui ont étés arrêtés dans le cadre des mobilisations du 22 mars.
Liberté pour les détenus pour luter!
¡Libertad detenidos por luchar!