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CNT-F Repressione. Quarantamilan €uro di multa.

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Non à la condamnation d’un syndicaliste à 40 000 euros d’amende!

Rendez-vous :

- le 12 septembre 2014 devant le Tribunal de Grande Instance de Metz UN SYNDICALISTE CONDAMNÉ POUR L’EXEMPLE À 40.000 € D’AMENDE!

Le 23 mars 2013, un militant de la Confédération nationale du travail (CNT) a été condamné à 40 000 € de dommages et intérêts pour avoir bloqué la gare de Metz lors d’une manifestation durant le mouvement anti-CPE de 2006. Justice ciblée, justice de classe, il y avait ce jour-là 800 personnes sur les rails dont des membres du PS aujourd’hui élus. Rappelons que le CPE a été abandonné, en partie, par l’UMP alors au gouvernement, suite au mouvement social, ce qui prouve l’utilité et la légitimité de l’action.

Cette condamnation, au-delà d’être injuste, dans la mesure où elle fait porter à un seul individu (militant syndical évidemment) la responsabilité d’une décision collective mise en œuvre par 800 personnes, serait un signal fort envoyé contre le mouvement social. Le gouvernement et le patronat, par une justice de classe, souhaitent instaurer la peur pour nous faire taire.

De question prioritaire de constitutionnalité (QPC) en appel, cela fait plus de deux ans que la CNT emprunte le tortueux chemin judiciaire pour refuser cette injustice. La prochaine étape devant juger la recevabilité de l’appel de la condamnation à 40 000 € d’amende est fixée au 12 septembre 2014 au tribunal de Metz.

La SNCF doit retirer sa plainte qui est un non-sens : faire payer à une seule personne les retombées d’un mouvement social collectif. Il semble donc que pour la SNCF, il s’agit d’une position politique, la direction voulant exprimer ainsi son opposition au syndicalisme et aux mouvements sociaux.

Les poursuites à l’encontre de l’ensemble des syndicalistes et militants doivent être arrêtées sans condition. Nous assistons à une multiplication de ce type de cas – dont cette condamnation (appel en cours) liée à la SNCF n’est qu’un exemple –, d’autres procès sont en cours ou menacent de s’ouvrir. La volonté de criminaliser les mouvements sociaux et le syndicalisme est manifeste.

LE SYNDICALISME ET LES MOUVEMENTS SOCIAUX SONT LÉGITIMES, REFUSONS LA CRIMINALISATION DES LUTTES!

Dans la mesure de vos possibilités, n'hésitez pas à venir ou à nous envoyer des messages de soutien pour le 12 septembre. Contact :

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No a la condena a un sindicalista con 40.000 euros de multa!

Protesta :

- el 12 de septiembre de 2014 ante el Tribunal de Metz (en el este de Francia)

¡UN SINDICALISTA CONDENADO A 40.000€ DE MULTA PARA DAR EJEMPLO!

El 23 de marzo de 2013, un activista de la Confederación Nacional del Trabajo (CNT) fue condenado a 40.000€ por daños y perjuicios por el bloqueo de la estación de tren de Metz, en un evento durante el movimiento anti-CPE en 2006. Justicia corrompida, justicia de clase, había un día a 800 personas en las vias, algunos de ello hoy miembros elegidos del PS.

Recordemos que el CPE fue abandonado, en parte, por la UMP, cuando el gobierno, siguiendo el movimiento social, lo que demuestra la utilidad y la legitimidad de la acción.

Esta descisión, más allá de ser injusta, al culpar de una acción colectiva implementada por 800 personas a un solo individuo (activista sindical obviamente), enviaría una señal fuerte a los movimientos sociales . El gobierno y los empresarios, a través de la justicia de clase, desean establecer el miedo para silenciarnos.

Cuestión prioritaria de constitucionalidad (QPC) en la apelación, han pasado más de dos años desde que la CNT inicia el tortuoso camino legal de rechazar esta injusticia. El siguiente paso es tratar la admisibilidad del recurso de apelación contra la condena a la multa de 40.000€ será el 12 de septiembre de 2014 en el tribunal de Metz.

SNCF debe retirar su denuncia que no tiene sentido: hacer pagar a una sola persona los perjuicios de un movimiento social colectivo. Así que parece claro que para la SNCF se trata de una posición política: la dirección quiere así expresar su oposición a los sindicatos y los movimientos sociales.

El enjuiciamiento de todos los sindicalistas debe ser anulado de manera incondicional. Estamos siendo testigos de una proliferación de estos casos, siendo esta condena, relacionada con la SNCF, sólo un ejemplo y otros procesoss están en curso o amenazan con abrirse. La voluntad de criminalizar a los movimientos sociales y al sindicalismo es obvia.

LOS SINDICATOS Y LOS MOVIMIENTOS SOCIALES SON LEGÍTIMOS, ¡RECHACEMOS LA CRIMINALIZACIÓN DE LAS LUCHAS!